Wiki Little Nightmares FR
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Modie est internée à l’Hôpital Psychiatrique des Districts depuis maintenant deux semaines. Malgré des antécédents médicaux insensés, son état mental semble relativement sensé : elle ne souffre que de parasomnies. Le Psychiatre note pourtant que les cauchemars de Modie ne ressemblent à rien de ce qu’il a pu observer auparavant...
— Description officielle

Les Ouvriers d'entre les Murs ( Angl.  The Workers in the Walls) est le premier chapitre de la fiction audio Le Bruit des Cauchemars.

Personnages[]

Retranscription[]

[Click]

Otto: La première vrai séance avec la petite à eu lieu hier soir, les risques d'un trouble sérieux sont plus nombreux que je l'avais anticipé. Son imagination est... vaste, mais une phrase en particulier me trotte encore dans la tête

[Click, insertion d'une cassette dans un magnétophone]

Modie (enregistrement): Il était juste devant moi, il respirait fort, je me souvient surtout de ça, de cette horrible odeur de saucisse qui aurait tourné.

[click, arrêt de la lecture de la cassette]

Otto: Rêver d'une odeur est extrêmement rare, c'est le signe d'une transcendance sensorielle... Cette enfant est une bonne candidate pour mon étude neurologique. Mais sa santé doit passé avant tous.

[Otto soupir]

Otto: Certains détails on du m'échapper dans son récit... allée, je dormirais plus tard.

[Lancement de l'intro de la série]

[Click]

Otto: Ici Otto psychiatre, cassette numéro 54, voici mes remarques préliminaires concernant la première séance de la patiente 1259... Donner des numéros au enfants... notre relation dépasse la déontologie de base, je vais laisser ses pratiques aux charlatans des étages supérieurs. Pour resté professionnelles, j'utiliserais le sobriquet dont la petite c'est affublé elle-même: Modie.

[Remplie un verre d'eau]

Otto: Modie est interné à l'HPD depuis une quinzaine de jours. Au vu de ses antécédents médicaux pour le moins insensé, son état psychologique semble stable et elle est remarquablement sensé. Elle a atterri dans mon service suite à l'aggravation de troubles du sommeil persistant, bien que non récidivant. De nombreux patients souffre de parasomnie, je n'entends pas par la qu'un traitement est superflue mais seulement que son cas n'est pas parmi les cas les plus préoccupant.

[Boit et inspire avant de reprendre]

Otto: Modie montre aussi des signes d'un traumatisme bénin, en conséquence, la maladie des cauchemars serait une hypothèse. Étant donné son état de défiance, le but de cette séance sera d'établir la relation, j'ai bonne espoir que Modie s'ouvre un peu et que nous puissions découvrir ce qui se cache dans sa petite tête.

[Renverse quelque chose]

Otto: Ho zut!...

[L'enregistrement se coupe un instant avant de reprendre sur une porte qui se ferme]

Otto: Prend le fauteuil Modie, tu peux t'assoir, t'allonger, te mettre à cheval sur l'accoudoir comme il te plaira

[Modie s'assoie et Otto lance musique en arrière plan avant de revenir à son bureau]

Otto: Qu'est-ce-que tu en penses?

Modie: Pas grand chose

Otto: On en dirait pas à voir ta tête.

Modie: C'est... C'est le genre de musique que j'entendais à travers les murs, dans l'appartement ou on habitait avant... avant qu'on ailles vivre dans la grande maison.

Otto: Tu veux qu'on parle de ça? De ton ancien appartement?

[Modie hésite]

Modie: Non merci Docteur

Otto: D'accord... commençons par une question plus facile, comment te sens-tu aujourd'hui?

Modie: Un peu triste

Otto: Il y a une raison particulière?

Modie: Le fleure rouge que papa et maman m'ont apporté, elle s'est fanée, j'ai voulu redresser un pétale et il est tombé, après j'ai vu pourquoi... des bestioles, partout, sous la terre.

Otto: Des pucerons... c'est fâcheux, [marque un temps d'arrêt] ça doit pas être facile d'être toute seule, ici, ça n'était une simple fleure pour toi n'est-ce pas?

Modie: Non Docteur

Otto: Tous ce que tes parents souhaites, c'est que tu te sentes à nouveau toi même, et nous feront ce qu'il faudra pour ça, un jour après l'autre

[Otto prépare de quoi noter]

Otto: Tu dors la nuit?

Modie: Oui docteur

Otto: Appelle moi Otto tu veux bien? Tu dors bien?

Modie: Oui

Otto: Modie, ici la franchise est importante, la vérité s'il-te-plait

Modie: D'accord, je me réveille en pleine nuit

Otto: Tu te réveilles en nage?

Modie: Hmmm...?

Otto: Est-ce-que tu transpires?

Modie: Ho oui! Et j'ai le cœur qui tape comme un marteau piqueur

Otto: Les cauchemars sont apparu en même que ta maladie?

Modie: Après

Otto: Et tu te souviens de tes cauchemars ou ils disparaissent au réveil?

Modie: Je me souviens... de tout

Otto: Tu serais d'accord pour me les raconter?... Maintenant ou tard...

Modie (l’interrompe) : Oui, celui d'hier soir, cette sensation... elle est encore là, mais je peux avoir du jus de fruit avant? j'ai mal à la tête et maman dit que ça fait du bien...

Otto: J'en suis pas certains, mais ça ne coute rien d'essayer

[[L'enregistrement se coupe un instant avant de reprendre sur Modie qui boit un verre de jus de fruit]

Otto: Je vois que tu regardes mon tableau, il s'intitule: le regard du Zahir’s, je l'ai depuis que je suis tous petit

Modie: Pourquoi il est flou?

Otto: C'est une image caché, le truc c'est de regarder sans regarder, essaie

Otto (après un court instant de silence): Voila, tu le voit maintenant?

Modie: Non

Otto: J'ai une idée, regarde le tableau, laisse ton esprit vagabonder et pendant ce temps, raconte moi ton rêve.

[Modie finit de boire son jus de fruit]

Otto: Tu as finis ton jus?

Modie: Oui

Otto: Alors, commence par le début.

Modie: Je me suis réveillé, dans un endroit ou je n'aurais pas du être

Otto: Décrit moi cette endroit s'il te plait

Modie: Tous était blanc, mais au bout d'un moment je me suis rendu compte que c'était de la neige qui tombait sur un champ. Je regardais dehors, j'étais tous en haut, la vue était dégagé, tout était calme, c'était comme si je ne faisais qu'un avec le froid.

Otto: Tu ressentais ce froid?

Modie: Pas comme dans les districts en hiver, plutôt comme si je regardais quelqu'un qui a froid, je le sentais autours de moi mais pas à l’intérieur. Je me suis retourné et en fait, la fenêtre par laquelle je regardais n'était qu'un trou, dans un mur de pierre. J'étais dans un long couloir qui tournait... j'ai eu comme une... comme une sensation. Il fallait que je me lève, mais le plafond était trop bas pour que je me mette debout, alors j'ai avancer à quatre pattes. Sans cette petite lumière... presque invisible, je serais tombé.

[Le musique disparait, laissant place à une ambiance plus sombre]

Modie: Un autre tunnel est apparu dans le sol, sa parois brillait dans le noir, un cliquetis venait d'en bas... cette sensation bizarre m'a fait comprendre que j'étais... perdu dans un géant en pierre et que si je voulais en sortir, il fallait que je continue d'avancer dans ses veines. Je suis descendu dans le noir et j'ai glissé humide et gelé... je me suis mise à dévaler le tunnel sans pouvoir m'arrêter, de plus en plus vite, je commençais à me dire que c'était un toboggans infini et à ce moment là... je suis tombé.

Otto: Ça ta fait mal?

Modie: Pas comme quand on tombe pour de vrai.

[Otto se lève et marche dans la pièce]

Modie: Ça y est je vois ce que c'est... le tableau... un tigre et deux lunes

[Otto revient vers son bureau]

Otto: Pas exactement

Modie: J'ai jamais vu de tigre en vrais...

Otto: Essaie encore, regarde sans regarder et continu quand tu voudras

Modie: Il y avait une bougie, qui faisait un peu de lumière, mais pas assez pour éclairer les coins de la pièce. Et j'ai vu qu'il y avait un trou dans la pierre à côté de moi, la neige, j'ai eu encore envie de regarder la neige tomber. Donc j'ai regardé par le trou mais il n'y avait pas de neige, simplement une pièce pleine de bocaux en verre partout, une lumière perçait à travers eux.

[Un bruit de marteau régulier apparait]

Modie: Elle venait d'une porte, de l'autre côté de la pièce mais une silhouette est apparu derrière la porte et à caché la lumière, il était... très très grand, avec un long manteau et un chapeau de pêcheur, il me regardait, et c'était comme si son visage... dégoulinait et il a disparu... ou pas... je me souviens pas... c'est la seule chose dont je n'arrive pas à me souvenir

Otto: Est-ce-que c'était quelqu'un que tu connais? Ton père peut-être?

Modie: Non...Non... cette homme... il est pas de notre monde...

Otto: Hmmm... je ne comprend pas

Modie: C'est la sensation qu'il donnait c'est tout.

Otto: Tu as parlé plusieurs fois de cette... sensation, peux-tu essayer de m'expliquer...

Modie: Vous ne pouvez pas comprendre! Vous s'y etiez pas! C'est...C'est impossible

Otto: D'accord Modie, on n'est pas obliger de parler de lui. Respire

[Modie respire lentement]

Modie: Quand j'ai enlevé mon œil du trou, j'ai repérer une sortie sur le mur d'en face. C'est de la que venait les bruit, je voulais y aller mais une ombre est sorti du coin de la pièce, c'était un enfant. J'ai crier "Attend! On est ou?" mais il c'est faufiler comme une souris, par la trappe. Je l'ai suivit, sans poser de question.

[Bruit de Modie allant à l'autre pièce]

Modie: L'autre pièce était plus grande, et l'enfant n'était plus là, d'autres trappes s'ouvrait partout, dans le sol et dans le mur... Comme dans une fourmilière. Il y avait des tonnes de ressorts de toutes sortes qui trainait partout, des petits bidons d'huile et des outils bizarres. Et puis j'ai entendu des pas, en rythme avec les bruits mécaniques. Comme je savais que je n'aurais pas du être là, je me suis caché derrière une boite en bois. J'ai jeter un coup d’œil, et j'ai vu d'autre petites ombres rentrer. Elles sont presque tous parties par différentes portes, mais deux d’entre eux sont resté, pour fouiller dans les ressorts. C'était pas des enfants, pas du tous, et même si on n'y voyait rien, c'était toujours des ombres. Comme si... ils étaient pas vraiment là... ou qu'on les avaient oublié... Ils avaient des outils effrayants et ça se voyait à leurs têtes qu'ils n'étaient pas très malins. Ils se sont planté tous les deux dans une trappes dans le sol, ils ont regardé dans le fond, ils ont sauté. Comme je ne savais pas ou aller, j'ai fais pareil.

(Bruit de Modie allant dans la trappe]

Modie: Et je me suis retrouvé sur la plateforme en-dessous.

[Les mécaniques deviennes plus fort]

Modie: J'ai enfin vu d’où venait tous ce bruit... Des roues dorés qui tournait, des petites, des grosses, des minuscules, ils y en avaient partout, il y en avaient tellement que je n'arrivais pas voir jusqu’où. Je ne savait pas ce que c'était... Et puis, cette sensation est revenue, et je me suis dis que c'était des engrenages, avec des crans qui s'emboitait parfaitement les uns dans les autres, ça faisait "Click clicks clicks..." comme une chanson qui tourne en boucle. Enfaite, c'était des centaines et des centaines de ses petites ombres qui faisait tourner le mécanisme. J'ai réalisé que... sans ses petits ouvriers, les rouages s'arrêteraient surement et le géant tomberait en pièce... pierre par pierre. Je me suis penché par dessus le bord sans faire attention et mon pied à buter sur un outil. Les ouvriers ont tous levé la tête et un groupe à commencer à monter vers moi, ils se deplacaient tous en même temps mais séparément. J'ai paniqué et je me suis caché derrière des leviers! Tous à coup, ma robe c'est coincé dans les crans d'un énorme rouages, j'ai été soulevée et emporté par le mouvement! Jusqu'à ce qu'elle se déchire et que je tombe sur un tuyau plus bas. Puis j'ai glissé et j'ai atterri sur une autre plateforme.

[Court silence de Modie, le bruit des mécaniques toujours en arrière plan]

Modie: Les ouvriers ont arrêté de me poursuivre pour se remettre au travail... Ils essayaient d'arracher le morceau de ma robe qui était resté coincé entre deux rouages car ça ralentissait tous. J'ai profiter qu'ils soit occuper pour m'échapper...

[Bruit de Modie qui court]

Modie: Le mur devant moi et les engrenages devant moi descendait, ça avait l'air infini. Je me suis accrocher à une rampe et je me suis laissé glissé. et là, j'ai entendu un énorme grincement qui venait d'en haut et les rouages ont reprit leur petite musique. J'ai vu le bout de ma robe déchiré tombé devant moi tous doucement et il a été aspiré par une petite fissure dans le mur... C'est là que j'ai entendu des cris déchirant sortir par la fissure... J'aurais pas du cherché à savoir ce qui y avait de l'autre côté... mais... j'ai regardé quand même.

[Hurlement de plusieurs personnes de plus en plus audible]

Modie: C'était une petite chambre avec des chaines partout sur le sol, il y avait trois robes identiques , un peu comme... des robes de bonnes sœurs qui pendait prêt d'un lit. Les chaînes se sont mise à bouger et mon cœur c'est arrêté.

[Bruit de chaine et un râle se font entendre]

Modie: Un corps... trop maigre c'est écrasé contre le mur, il avait une chaine autours du coup, il était juste devant moi... il respirait fort. Je me souviens surtout de ça, de cette horrible odeur de saucisse qui aurait tourné.

Otto: Une seconde Modie, tu as distinctement sentis son haleine?

Modie: C'étais pas son haleine, c'étais lui. Il sentait tellement mauvais que j'ai encore son odeur dans le nez.

Otto: Tu en es vraiment certaine?

Modie: Vous m'avez demandé de dire la vérité non? C'est ce que je fais

[Otto se met à écrire sur ses papiers]

Modie: Vous voulez toujours que je vous raconte la fin de mon cauchemars?

Otto: Hein?... Ah excuse moi, j'étais ailleurs, c'est pas très correcte de ma part

Modie: Hmm, pas grave [Inspire avant de reprendre] En regardant par la fissure, j'ai compris quelque chose, j'étais à l'intérieur du mur, comme un rat. Et il y avait tout un monde de l'autre côté, et à partir de là... ça a été de pire en pire... Je suis descendu, descendu, de plus en plus profond, jusqu'à ce qu'il y ai plus rien à part de la vapeur et le noir complet. Et des bruits, de plus en plus fort "Tic... Tac... Tic... Tac".

[Bruit d'une horloge de plus en plus audible]

Modie: J'avais envie d'abandonner , alors je me suis assise pour écouter. Je m'étais presque endormi quand j'ai vu une sortir petite forme du mur. Je me suis dis "Encore un ouvrier qui me court après" Mais il a levé la tête et j'ai vu ces yeux... Ceux d'un enfant, cette fois c'était sur. Ces cheveux était couvert d'un truc visqueux, impossible de savoir si c'était une fille ou un garçon. Je suis descendu à toute vitesse, j'avais presque autant d'énergie qu'avant la... [Modie s'arrête quelques instants avant de reprendre] On est resté là, sans rien dire pendant un moment. Le truc noir dans ces cheveux bougeait, comme de la fumée. J'ai commencé à dire "Qu'est-ce que tu as dans les..." Mais il a mit sa main sur ma bouche

[L'enfant murmura un chut à peine audible à Modie]

Modie: J'ai compris pourquoi en voyant son doigt pointé vers le mur... Il y avait encore une fissure qui menait encore à une pièce. C'était un atelier horrible...

[Bruit de divers objets]

Modie: Il y en avait partout, des machins pas terminé, des trucs en bois et en métal avec des manettes et des manivelles... Il y avait aussi une collection de masque sur des étagères... Avec des vis et des cous planté dedans, les pointes vers l’intérieur, à l'endroit de la bouche. Et devant la table, il y avait une grande femme qui travaillait, penché sur sa dernière création, ma robe me rappelait quelque chose, mais des chaînes longues et lourdes pendait en dessous.

[Murmures indéchiffrable de plus en plus audible]

Modie: La femme poussait des espèces... de petits grincements, comme si elle était contente, je me suis dit que ça devait être la gardienne de ce géant de pierre. De ce monde derrière les murs. A un moment, elle c'est tourné vers un tas de ferraille et j'ai vu son visage... Elle était à la fois vieille et jeune... avec la peau tiré en arrière tellement fort que seul ses yeux avait l'air un peu prêt humain, j'avais envie de savoir ce qu'elle fabriquait et en même temps, j'avais tellement envie de hurler mais j'ai pas eu le temps, ni de savoir ni de hurler. Mon ami m'a écarté du mur en faisant "CHUT!" et en me montrant le plafond. Il y avait une ombre qui nous observait par une fente dans le planché d'au dessus. L'enfant m'a tiré par le bras, mais c'était déjà trop tard, l'ouvrier à sauté à côté de moi et il a commencé à inspecté mon corps avec un outil dans la main.

[L'enfant saisit Modie]

Modie: Mais la, mon ami m'a écarté pour qu'un petit rayon lumineux touche l'ouvrier et il a disparu dans un coin, à toute vitesse. On aurait dit qu'il voulait absolument resté caché.

Otto: Modie, pourquoi tu t'arrêtes?

Modie: Je réfléchie, la suite est difficile à décrire... le cauchemars... il a changé... on c'est retrouvé entouré de vapeur et on a atterri ailleurs, à côté des engrenages, entre les murs.

[Bruit d'une pendule]

Modie: Devant nous, il y avait un long pendule qui passait et repassait, l'enfant c'est accroché dessus, moi je l'ai laissé passé, une fois... (Pendule qui passe devant Modie] Deux fois... (Pendule qui passe devant Modie] Trois fois jusqu’à ce que je trouve le courage de faire pareil. On a grimpé sur le pendule qui se balançait et ça m'a fait tourné la tête, j'arrêtais pas de me dire "allez encore un peu" puis l'enfant m'a attrapé et hissé jusqu'en haut... On avait réussi, enfin on était dans le cœur de l'horloge. C'était une pièce longue, avec un escalier en colimaçon et un appareil bizarre, comme des petits doigts en métal qui pianotait à un rythme infernal. Le plafond, c'était un cadran de montre blanc, mais avec les chiffres dans le désordre.

[Bruit de pas dans des escalier]

Modie: On a grimpé les escaliers à tous vitesse et en haut on est sorti et on c'est retrouvé dans une cours...

[Hurlement de plus en plus audible]

Modie: J'ai commencé à trembler de partout quand je les aient entendu. Des cris, des hurlements de douleurs, j'étais paralysé, je regardais les murs immense qui nous entourais, les murs dont je venais de sortir... c'était ça le vrais bâtiment? Il y avait un million de cellule comme la deuxième pièce que j'avais vu, jusqu'en haut. On voyait des bras, des mains sortant des barreaux qui les enfermaient... J'avais le cœur qui battaient aussi fort qu'eux, comme une prisonnière qui essaye à s'échapper.

[Modie se met à crier "attends moi, s'il te plait"]

Modie: J'ai crier "Attends moi, s'il te plait" mais mon ami était déjà à l'autre bout de la court et puis j'ai entendu les chaines, la grande femme à sauté dans la cours et c'est lancé vers l'enfant. Une chaine sortait de sous sa robe comme un serpent et à attraper ses jambes et la trainé dans la neige.

[Des "NON" de terreurs sont audibles, la voix de Modie devient de plus en plus paniqué]

Modie: Il hurlait et donnait des coups de pieds, il était terrifié et m'a crié "au secours"... C'est la que la femme m'a vu. Elle a commencé à venir vers moi d'un pas lourd. J'étais figé... de peur, et elle se rapprochait, je pensais qu'à une chose: qui m'a fait venir ici? Pourquoi on m'a montré tous ses secrets? Elle avait la peau tellement tendu qu'elle pouvait à peine ouvrir la bouche. Une fente, avec des dents noirs à l’intérieur, des dents affamé, comme si elle avait faim de quelque chose qui venait de... de moi.

[La musique et les hurlements s'arrête brutalement]

Modie: Et... je me suis réveillé

Otto: C'est... terrible Modie... ma pauvre... cette femme en particulier semble effrayante

Modie: Oui... mais quand j'y repense, c'est pas elle qui me faisait le plus peur , c'était les ouvriers.

Otto: Hein? Parce qu'il était sans âme?

Modie: Non, parce qu'ils étaient caché, personne ne savait qu'ils existaient, c'est... c'est comme ça que je sens parfois... depuis que j'ai attraper la maladie de l'eau, c'est comme si il y avait des choses dans mon corps qui... au lieu de me faire fonctionner me tue. Comme les insectes dans le pot de ma fleure... Ah! Je les sent dans ma tête.

Otto: Écoutes moi, je ferais tous ce que je peux pour t'aider mais il n'y a rien de mauvais à l'intérieur de toi, rien.

Modie [Rassuré]: D'accord...

Otto: Il me reste une dernière question, ensuite je pense que ça suffira pour ton premier jour qu'en dis-tu?

Modie: Hmm

Otto: Modie, as-tu déjà entendu parlé de la communion onirique?

Modie: La communion onirique?

Otto: Le fait de... partager un rêve avec quelqu'un d'autre

Modie: Mais... mais, comment quelque chose qui est dans ma tête, pourrait être aussi dans la tête de quelqu'un d'autre? Et dans la tête de qui?

Otto: Ce sont des questions qui hante mes confrères depuis des années, ta perception des odeurs et des températures dans tes rêves est parfois considérer comme un indicateur de ce phénomène transpersonnel... bien que je ne soit pas convaincu de sa validité déontologique, cela fait longtemps que j'ai le désire d'étudier un cas comme le tient, malheureusement, je n'ai connu qu'une seule personne ayant ce type de faculté avant toi et c'était il y a des années.

Modie: Qui? Quelqu'un comme moi?

Otto: Ma... Cici... et pas exactement, quoi qu'il en soit, mes ambitions ont fait long feu, j'ai perdu tous ça de vue et bien d'autre chose... mais tu as stimuler cette chose en moi que j'avais presque oublier.

Modie: Ah! Je, je crois que je vois maintenant... Otto

Otto: Oui, bien sur, on est une équipe

Modie: Non, le tableau

Otto: Ah...

Modie: C'est une carte, des étoile, entouré de cercles

Otto: Oui c'est ça , un astrolab plus précisément

Modie [Hésitante]: Un as...tro...lab

Otto: Un instrument ancien qui servait à déterminer une position dans le temps et dans l'espace. Allons, tu dois être épuisé.

Modie: Je n'ai pas envie d'aller dans ma chambre, ni de dormir , vous... vous voulez bien me raccompagner?

Otto: Bien sur et n'oublions pas ton petit bonbon du soir, tiens Modie, choisis-en un

[Bruit de bonbon, dans une boite]

Otto: Une douceur pour que ta nuit soit douce.

[Lancement de l'outro]

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